Les artisans élagueurs effectuent des travaux un peu plus compliqués que les autres artisans. Ils travaillent en général sur les arbres, donc ils sont spécialisés dans les ouvrages en hauteur. Ce sont des professionnels qui s’occupent du soin et de la taille d’arbustes et des autres opérations techniques que les arbres requièrent. On distingue :
élagage, dessouchage, abattage,, taille, aubannage, etc. Une forte connaissance en arboriculture et du monde de la nature sont donc utile dans ce type de travail. C’est l’élagueur qui prépare son moment d’intervention, les matériaux à utiliser et les techniques de grimpe à adopter pour l’opération. Il assure aussi la sécurité au travail.
Comment devenir un bon élagueur ?
Pour être un expert en élagage tel que cet élagueur dans le 33, il faut suivre une formation ou faire des études dans le domaine agricole. La préparation d’un BEPA pour avoir un certificat de spécialisation en taille et soins d’arbres est d’une durée de trois ans en moyenne. Il y a également le certificat de spécialisation en élagage. Dans cette formation, il y a beaucoup à apprendre : la particularité des arbres, la pratique de l’arboriculture, les techniques d’escalade et les moyens de déplacement sur l’arbre. Il y a aussi la formation en secourisme.
Les différentes étapes franchies par ce type d’artisan
Dans son travail, l’élagueur effectue pas mal de parcours avant de procéder à l’intervention. Avant de se lancer, c’est lui qui fait d’abord l’évaluation des travaux à faire sur les arbres. Il s’occupe du type de taille pour l’arbre selon son âge. Ensuite, il vérifie s’il y a des obstacles qui peuvent changer le mode opératoire. Il vérifie en même s’il y a des insectes dangereux ou des fils électriques qui passent dans les branches de l’arbre. La sécurité passe avant tout pour un élagueur qu’il intervienne sur terrain ou dans un jardin.
La différence d’un élagueur d’un arboriculteur
Un arboriculteur effectue le même travail qu’un élagueur, mais il y a tout de même quelques différences de près. L’arboriculteur doit être un vrai connaisseur en arbre et cela scientifiquement et il a des travaux en plus que l’élagueur. Il doit être un bon scientifique qui peut déterminer et maîtriser la santé des arbres. C’est lui qui établit le diagnostic de l’état réel de l’arbre et détermine les traitements appropriés en se basant sur la santé actuelle de l’arbre.
Le coût d’un service d’élagueur
Il n’y a pas de tarif exact pour l’élagage d’un arbre. Le coût d’un service donné par un élagueur varie en fonction de quelques points. D’abord, il y a le type de l’arbre à travailler, parce qu’un outil utilisé pour tailler un pommier n’est pas possible pour un olivier par exemple. Ensuite, il y a la hauteur et le diamètre de l’arbre, il y a également son âge. Enfin, l’environnement de l’arbre et le coût de la main d’œuvre sont aussi inclus dans l’établissement de prix d’un élagueur.
Comment faire appel à un élagueur ?
Pour contacter un élagueur, il suffit de faire une recherche sur internet ou aller directement dans une entreprise d’élagage déjà connue. Sur les sites internet, les offres de service sont actuellement détaillées. Sachez quand même que les avis et les commentaires des clients sont également très importants, n’hésitez pas à jeter un coup d’œil sur les différents sites. Faites aussi des comparaisons entre les entreprises au niveau des prix et des méthodes utilisées. Vérifiez votre budget pour les prestations proposées pour être sûres de sélectionner la meilleure entreprise.
Le devis d’un élagueur est-il nécessaire ? Pourquoi ?
Un devis provenant de l’élagueur est nécessaire. C’est plus que nécessaire même, car il permet au client de connaître le budget à préparer pour le projet. Vous pouvez avoir des différents devis de différentes entreprises par une seule demande en ligne depuis une page annuaire. Ainsi, vous pouvez faire une comparaison et choisir l’artisan qui vous convient le mieux. Sachez aussi que le prix du dernier élagage de votre voisin ne sera pas le même prix que pour vous, il y a des critères à prendre en compte.
