Impact de l’automobile sur l’environnement

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Toutes les recherches qui ont été faites dans le but d’apporter des changements sur les moteurs des voitures sont très contradictoires : d’une part, les instances gouvernementales font voter des lois très strictes pour l’environnement qui vont à l’encontre d’une politique de réduction de la consommation. Par exemple, les difficultés causées par l’échappement poussent les gens à consommer davantage pour leur santé. Depuis que le gouvernement a pris conscience des conséquences écologiques des voitures, ils ont modifié leurs objectifs afin de permettre une réduction sur les risques liés à l’environnement.

D’un constat en découle une loi

Les polluants dans les villes, ont provoqué la mort et la maladie de plusieurs personnes durant les années 1970 à 1990. Une loi a été appliquée aujourd’hui afin de tendre à une réduction des émissions de CO2. La conséquence des polluants dans les villes a fait l’objet d’analyses en Europe par une loi appelée « Euro » 1 à 6, tandis que l’aspect des émissions de CO2 est pour l’instant analysé par le biais des constructeurs, ou via des lois fiscales nationales.

La pollution liée directement et indirectement au domaine de l’automobile

Dans le domaine de l’automobile, il faut prendre en considération toute l’organisation :
  • les étapes de fabrication,
  • le chargement des véhicules de transport,
  • la maintenance des machines industrielles,
  • les réparations des ces dernières,
  • la publicité off-line, on-line ou la mise en place de salons automobiles
Vient s’ajouter à cela des évènements indirectement liés au secteur : comme les accidents de la route, qui vont nécessiter l’intervention d’organisme de sécurité (pompiers, policiers, les ambulances), ou encore les différents contrôles routiers lors des déplacements des automobilistes. Nous pouvons aussi parler des grèves et les opérations escargots qui engendrent le rassemblement de nombreux véhicules sur les routes avec les intervenants et les usagers bloqués.Il y a aussi la création et le nettoyage des usines, de garages, de stations-service, de stations de lavage, de garages et d’ateliers de réparation automobiles, de machines, d’outils, de pièces de rechange pour automobiles, de produits d’entretien ou de nettoyage et du transport pour envoyer tous ces éléments dans un lieu qui s’occupe de faire ressortir les matières la chaîne de valeur jusqu’au dernier point de vente. La mise en marche de ces produits finaux de ces ventes exige à son tour d’autres consommations en parallèle.

Des solutions pour réduire la pollution ?

La plus radicale serait d’envisager de réduire l’utilisage son véhicule et d’utiliser d’autres types de transport. Une action très stricte mais qui serait très efficace. En effet, cela réduirait considérablement les émissions de gaz carbonique qui contribue fortement à la détérioration de la couche d’ozone. Une autre façon de contribuer à la préserve de l’environnement est d’effectuer des trajets partagés via le covoiturage. Moins de véhicules sur les routes permettent logiquement de réduire les émissions de CO2. Une alternative qui est beaucoup plus envisageable et qui prend de plus en plus d’ampleur avec l’émergence de services mettant en relation les conducteurs et les voyageurs.

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