Quand vient le temps de prendre des décisions, nous devons être réalistes et raisonnables. Un caractère optimiste influence de manière positive plusieurs autres domaines touchant à la santé, tels qu’un système immunitaire amélioré et une meilleure longévité.
Comment s’y prendre
Se promener dans un magnifique paysage, écouter de la musique classique qui nous émeut, ou participer à un rituel religieux ou spirituel font partie des expériences dans la vie qui nous rendent joyeux et nous font nous sentir en vie selon le dr Joe Dispenza. Des recherches ont prouvé que les expériences liées à l’art, à la religion et à la philosophie sont les plus propices à susciter en nous un sentiment d’émerveillement, ce sentiment d’admiration et de connexion à quelque chose qui nous dépasse. Les personnes adoptant une attitude de bienveillance envers elles-mêmes sont également plus attentives à leur propre corps, l’aidant potentiellement à prévenir ou gérer une série d’événements négatifs portant sur la santé physique ou morale.
Bénéfique pour nos émotions
Positive ou négative, une émotion est la réponse naturelle et spontanée à une situation. Pour apprendre à gérer vos émotions, vous devez avant tout les reconnaitre et les accepter – c’est aussi pour le bien de votre cœur et vos nerfs. S’il est inutile de chercher à contrôler ses émotions, il peut devenir dangereux de les refouler. En effet, ne pas exprimer vos sentiments peut engendrer une détresse émotionnelle, voire impacter votre santé physique. Accepter vos émotions, quelles qu’elles soient, permet également de mieux vous connaitre. Vous pourrez ainsi anticiper vos propres réactions et augmenter votre confiance en vous.
La reconnaissance de nos cerveaux
Le maître de notre cerveau et des pensées qui y sont générées, c’est nous! Alors, il faut déjouer nos tendances à la négativité et au pessimisme pour cultiver désormais une attitude positive, optimiste. Pas dans le but d’éviter à tout prix les épreuves, mais savoir mieux les surmonter et les affronter. Plus on remarque le côté positif des choses, plus notre cerveau se met en mode « recherche » d’exemples de positivisme. C’est un véritable « GPS » qui cherche ce qu’on lui commande de chercher. Pour l’aider, on change nos pensées pour modifier notre cerveau, provoquant ainsi des « multiplicateurs » d’occasions d’optimisme.